La semaine de 4 jours
Travailler quatre jours en étant payé pour cinq accroît la productivité: c’est la conclusion d’une expérience menée au Royaume-Uni par 61 entreprises. En Suisse, ce modèle reste rare. Succès et faisabilité ne sont pas garantis.

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Les papas consacrent toujours plus de temps à leur famille, mais ce sont surtout les femmes qui diminuent leur taux de travail. Les obstacles sont variés pour les hommes qui veulent réduire leur activité. Point de situation à l’occasion de la fête des pères le 4 juin.

Valorisés au travail
Travailler moins pour gagner autant: qui refuserait? C’est ce que suggèrent les partisans de la semaine de quatre jours: trente-deux heures payées à 100%. Alors que de plus en plus d’entreprises offrent la possibilité de faire du télétravail et d’aménager ses horaires à sa guise, certains la considèrent comme le nouveau moyen d’attirer des talents.

Une cathédrale intérieure
Le psychodrame qui se joue en France autour la réforme de la retraite, dont l’âge légal devrait passer de 62 à 64 ans, nous interroge sur l’idée que nous nous faisons du travail. Certes, même les plus passionnés par leur métier aspirent, un jour ou l’autre, à lever le pied. Mais bon nombre d’opposants à la réforme battant le pavé des villes françaises voient la retraite comme une délivrance après des décennies de dur labeur.