Ukraine: une guerre des nerfs
«Washington ordonne le départ des familles de diplomates américains à Kiev», titre le quotidien Le Temps ce lundi. Pour le ministère américain des affaires étrangères, une invasion russe peut se produire à tout instant. Une crainte alimentée par les 100’000 soldats, les chars et l’artillerie massés à la frontière avec l’Ukraine. Mais Moscou assure ne pas avoir l’intention d’intervenir. Selon un porte-parole du Kremlin interviewé par Russia today, un scénario militaire serait une folie.

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Un an après avoir amené deux Ukrainiennes et leurs enfants dans le Jura, Richard Crevoiserat et sa famille continuent de les entourer comme ils l’avaient promis. Les petits ont grandi, la famille a trouvé ses marques. Leurs permis S viennent d’être renouvelés, car la guerre continue.

Le nom de la paix
Stupeur à Munich! La récente Conférence sur la sécurité nous a appris qu’il n’est pas l’heure de négocier la paix en Ukraine. Quelle nouvelle alors que l’un des belligérants brandit la menace nucléaire et que dans l’autre camp on livre des armes comme des coursiers à vélo livrent des repas… Au vu de l’escalade actuelle, on se doutait un peu que les faucons n’étaient pas près de laisser sa chance à une colombe. Les chefs d’Etat qui prennent des postures de chefs de guerre tout en assurant que leur Etat ne l’est pas, en guerre, sont pris à leur propre jeu. Perdre une guerre, c’est une chose. Mais perdre la face!

Un an de conflit
Le 24 février 2022, les troupes russes entraient en Ukraine. Pour marquer ce triste anniversaire, la RTS propose une soirée spéciale avec notamment deux reportages bouleversants: Les survivants de Marioupol et Russie, journal d’une année de guerre.